lundi 11 novembre 2013

Vers la prise de l'élysée

  Un dirigeant a deux méthodes pour gouverner, inspirer la confiance ou la crainte à son peuple. Ovni dans le monde actuel, notre petit Louis seize nous montre vivre, lui, dans la crainte de son peuple, une nouvelle méthode de gouvernement, unique et breveté par flamby.
  Nous en avions eu une preuve en début d'année lors de ses vœux aux armées, vœux où il a assuré les armées de toute sa confiance, confiance tellement élevé qu'il a fait retirer aux soldats présents pour la prise d'armes les percuteurs des famas, au cas où. Sans doute avait il peur que l'un de ces professionnels ne fassent une mauvaise manipulation et se blesse par erreur. Quelle gentillesse, pour ensuite supprimer les budgets de ces armées qu'il exècre. On l'a vu se faire huer comme jamais cela s'est vu durant le défilé du quatorze juillet, un quatorze juillet tellement populaire que toute personne arborant des maillots roses ou bleus s'était faite écarté des bords de l'avenue, de peur que l'une d'entre elle ne vienne à lancer un drapeau français à la face de ce pseudo président.
  Aujourd'hui, onze novembre, il se fait de nouveau huer lors d'une cérémonie qui voit les français se réunir dans le calme chaque année en mémoire de ceux qui ont fait cette France, forte et vaillante, toute à l'opposé de son représentant descendant les champs élysées dans une berline aux vitres totalement noircies, par gout esthétique nous dira t on. Bien que j'imagine déjà certaines mauvaises langues nous dire que ces vitres noircies le sont juste pour éviter qu'un tireur ne puisse viser avec précision le flan étalé sur la banquette arrière.
  Une simple remarque qui est à coupler avec l'interdiction d'emprunter la rue sur laquelle donne le portail d'entrée de l'élysée la nuit pour les années à venir.
  Une chose logique en cas de délitement d'un pouvoir, car vu la mocheté de l'opéra bastille, si les français décident de s'en prendre à un symbole, ce ne pourra être que l'élysée.

  La grande question est de savoir si les gardes républicains auront assez d'abnégation pour défendre le nouveau louis seize et sa marie Antoinette ou si l'un d'eux ne sera pas le premier à agir.

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