lundi 25 novembre 2013

La bataille de Poitiers tel que lorant deutsch n'a pas voulu nous la décrire.

  Odieux Lorant Deutsch qui a déformé les faits de cette bataille non désirée. Voici la vérité telle qu'elle a été publiée dans Libérassion, le seul journal objectif de cet automne 732.

   Lassé par la chaleur andalouse, Abd Ar-Raḥmān , jeune noble au grand cœur voyant ses amis s'ennuyer leur proposa une belle virée automnale pour leur redonner le moral. Il leur proposa donc d'aller trouver un peu de fraicheur aux sports d'hiver.
 -Partons maintenant les amis, nous aurons le temps de faire un détour par Paris, nous pourrons flâner sur les champs et acheter les nouveaux skis que vend Salomon.
  Une clameur de joie s'empara de tous ses amis qui sautèrent à cheval dans le sillage de ce G.O. si inventif dans les loisirs. Ils chevauchèrent des semaines durant jusqu'au royaume de France ne laissant de la tristesse et des larmes derrière eux que par la douleur créée par leur départ si rapide. Des embrassades émouvantes à chaque départ saluèrent ces hommes imprégnés de tant d'amour de paix et de tolérance.
  Au même moment près de Poitiers se trouvait Charles, le maire du palais, entouré de son gang. La fête de la cervoise de Poitiers est le point fort de leur année. La dernière semaine de ces festivités les enivre de bonheur, l'alcool coule à flot et chaque soir les voit partir en selle effectué des descentes ultras violentes dans les villages alentours, se défoulant violemment sur les honnêtes paysans avant de forcer les femmes et leurs filles, cervoise, sexe et flute à bec semble être la devise de ces rebelles.
  Abd Ar-Rahman arrive au son du djumbé dans la banlieue poitevine et découvre un paysage dévasté, des chaumières en flammes, des femmes en pleurs, des orphelins. Secoué par ce spectacle, le brave homme se renseigne sur cette situation dramatique, et écoute sanglotant une jeune orpheline lui raconter le drame que vit cette région chaque année lors de la venue de Charles à la fête de la cervoise.
  Ne connaissant et ne comprenant pas cette violence, Abd ar-rahman décide malgré tout de partir avec ses amis essayer de ramener ses méchants infidèles sur le chemin de l'amour. Il  prépare un énorme chaudron de thé à la menthe pour le proposer au gang de Charles et se dirige décidé vers leur campement. Ils arrivent en pleine beuverie, Charles et ses hommes forniquent et boivent à outrance choquant la candeur de notre brave sarrasin. En titubant Charles s''approche de Abd Ar Rahman et de son chaudron, il trempe la tête dans ce liquide vert, une nouvelle boisson de 27 les amis. Surpris par l'absence d'alcool dans ce breuvage, il commence à invectiver celui qu'il prend pour un apothicaire cherchant à vendre une lotion soi disant miracle et commence à charger les jeunes sarrasins à coups de hache et d'épée aussitôt suivi par ces hommes heureux de ce nouveau moment de violence.
  Abd Ar Rahman, d'abord surpris de cette réaction totalement opposée à son intention pacifique décide de retourner chez lui, il ne sera pas dit que lui homme de paix se sera laisser aller à un quelconque acte violent.

  Mais il est complètement Martel ce Charles fut la réaction qu'il eut devant les parchemins des scribes des hebdomadaires du royaume. Il s'ensuivit une série de sanctions contre la France, la plus grave étant certainement la délocalisation de la fête de la cervoise à Munich, un drame économique si lourd de conséquence que deux guerres mondiales en ont découlés, mais ça, jamais les historiens ne vous l'avoueront.


Maintenant vous connaissez la vérité sur le drame de cette bataille qui mis fin à toute idée de vivre ensemble dans le royaume de France. Texte retrouvé dans "bonne pensée Hebdo" du 04 novembre 732.

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