lundi 18 novembre 2013

libération attaqué?

  Moins d'une semaine après l'intrusion d'un homme armé dans les locaux de BFM, sans acte violent, voici le journal Libération ciblé par une attaque en règle laissant les locaux dans un état semblable à une scène de guerre selon le sinistre de l'intérieur.
  Un individu s'en est pris à ce journal dont le sinistre vante la qualité d'analyse et l'objectivité; j'ai cru qu'il parlait d'un autre journal mais non, c'était bien pour libé ces qualificatifs.
  On déplore un assistant photographe entre la vie et la mort, en espérant qu'il se rétablisse au mieux. Ce serait dommage qu'un simple troupier paie pour la ligne éditoriale de la direction.
 
  Le refrain du déséquilibré d'extrême droite devrait bientôt déferler dans les médias, pour cet acte qui à mon sens relève plus d'un ras le bol contre la situation générale actuelle qu'autre chose, libération étant encore plus associé au mensonge que bfm par ces éditos et contenus d'un parti pris exceptionnel. La chute constante de son tirage étant la preuve s'il en était besoin de l'incroyable décalage entre les réalités et le vécu quotidien des français et ce que libération leur annonce en une avec une vision on ne peut plus bisounours de l'actualité, constamment à rebours du réel et du ressenti des gens. Ce journal devenu le seul à toujours considérer les actions gouvernementales comme valables et utiles se voit sanctionner.

  Encore que si le tireur est retrouvé, on découvrira certainement que celui ci désirait attaquer le gouvernement et son président, responsable de prolonger et accroitre la souffrance du pays. Un gouvernement tellement conscient de son impopularité que la sécurité de tous hauts personnages a été renforcé, rendant la probabilité de réussir un attentat quasiment impossible pour le quidam moyen. Que reste-t-il donc à ce quidam comme cible?
l'organe de propagande officiel du gouvernement, et cet organe de propagande c'est libé, le journal le plus partial des kiosques. La sécurité a été renforcé devant tous les bâtiments des médias, mais ce n'est pas un média qui était visé, si vous lisez bien cet acte, c'est le gouvernement qui est visé et le descendant du volkischer beobachter hitlérien qu'est libé.

En dédommagement, vous conserverez certainement les subventions qui vous font vivre et remplacent les lecteurs que vous ne pouvez plus reconquérir par votre perfidie.

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