samedi 7 décembre 2013

Quenelles et Planète des singes...

  La quenelle dieudonnesque, tout le monde en a déjà entendu parler, en mal surtout. Elle est soi disant assimilé à un salut hitlérien, quand ce n'est qu'un bras d'honneur, c'est du moins la définition trouvé par les bobos de canal plus, libé et autres moralisateurs déconnectés du peuple qui cherchent toujours le meilleur moyen et le plus simple des prétextes pour taper sur leur ennemi commun, l'humoriste Dieudonné, le seul comique qui n'a pas le droit à la liberté d'expression, il a failli être condamné à faire du mime mais même ses gestes sont analysés avec la justesse et l'étroitesse d'esprit de ceux qui ont réussi à trouver du racisme chez les schtroumpfs.
  En trouver dans cette bande dessinée laissait présager à une capacité d'analyse du deuxième voire troisième degré, mais même pas. Ces super critiques sont surprenants pour leur étroitesse et leur incapacité à  sortir du premier degré et de l'analyse de salon de thé.
  Ceux là même qui ont dénigré les schtroumpfs ont porté aux nues la planète des singes, pour le soi disant message anti raciste s'y trouvant. Soit ils ont juste été choqué du racisme dont était victimes les gorilles et les orang outans, soit ils n'ont pas regardé le film jusqu'à la fin et ne connaissent en rien la vie et l'œuvre de Pierre Boulle. Cet écrivain a passé une grande partie de sa vie en Asie et y a vécu des moments difficiles le menant à devenir raciste et à mépriser les asiatiques, choses déjà visibles dans le pont de la rivière Kwai où le terme de singe revient souvent pour parler des asiatiques qu'il rend incompétent et incapables d'invention et de capacité de construction sans l'aide des européens.
  On aurait pu en rester là et y voir une rancœur passagère  suite à la guerre mais son chef d'œuvre renommé et maintes fois adaptés au cinéma, La planète des singes, est lui une trouvaille de génie tant il a réussi à faire passer son message raciste de supériorité de l'homme blanc de manière subliminale sous un vernis antiraciste que tous nos critiques de génie n'ont pu voir que le premier degré, car le fond du film est la description d'un monde où des races inférieures seulement capables d'imitation ont pris le pouvoir. Un monde où depuis leur prise du pouvoir sur l'homme blanc plus rien n'a évolué, ne sachant pas faire preuve de créativité, ce monde stagne et végète là où l'homme blanc l'a laissé.

  Est ce une différence de traitement simplement due à la haine anti Dieudonné ou est ce juste la preuve que nos soi disant bien pensants moralisateurs sont juste des esprits étroits incapables de la moindre analyse dépassant le premier degré?
  J'ai ma réponse....
En tout cas Pierre Boulle est le plus grand quenellier vu la taille de celle qu'il a réussi à placer en se faisant féliciter pour elle.

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