dimanche 15 décembre 2013

Prix nobel de la paix aux relents syriens.


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  On en a beaucoup moins parlé que les prix Nobel reçus par Obama ou Arafat, mais le lauréat de ce prix totalement impartial ( si,si impartial ) pour l'année 2013 a une nouvelle une forte teneur de bien pensance.
  Il a été décerné à l'OIAC, Organisation pour Interdiction des Armes Chimiques, pour son travail réalisé dans le démantèlement des arsenaux chimiques dans tous les pays. C'est ce qui est dans le cahier des charges, bien qu'états unis et russie ne semble pas très concernés.
  Ce prix accordé un peu plus d'un mois après l'attaque chimique en Syrie leur a été accordé pour leur rôle passé et surtout pour leur rôle actuel dans la supervision du démantèlement de l'arsenal chimique détenu par Bachar el Assad. Â première vue, c'est très bien et il est vrai qu'un arsenal en moins ne sera pas une mauvaise idée pour le futur.
  Mais objectivement, à l'heure ou de plus en plus de personnes doutent de l'utilisation de cet arsenal par le régime officiel, de nombreuses preuves et de nombreux témoignages fourmillent sur le net dans le sens d'une réalisation de cette attaque par les forces rebelles, ce désarmement semble être une manière officielle et non violente de donner un avantage supplémentaire aux rebelles en les laissant eux posséder encore des capacités chimiques ( toujours dans le cas où ils en auraient ) quand les forces fidèles au régime serait cantonné à la seule utilisation d'armes conventionnelles.
  Un avis bien personnel mais qui semble dans la logique du comité Nobel qui a eu le culot de remettre un prix à Obama avant même qu'il ne fasse quoi que ce soit et par la suite déclenche des bombardements et continue la politique du précédent gouvernement.
  En place de cette organisation partiale, n'aurait il pas plutôt fallu remettre le prix à un Vladimir Poutine qui a certainement repoussé voire évité une guerre à dimension mondiale?


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